Venom : Let There Be Carnage | |||
Sortie | 1er octobre 2021 20 octobre 2021 |
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Réalisateur | Andy Serkis | ||
Scénaristes | Kelly Marcel Tom Hardy |
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Producteurs | Avi Arad Matt Tolmach Amy Pascal Kelly Marcel Tom Hardy Hutch Parker |
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Compositeur | Marco Beltrami | ||
Production | Columbia Pictures Marvel Entertainment Arad Productions [src] Matt Tolmach Productions [src] Pascal Pictures [src] |
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Distribution | Sony Pictures Releasing | ||
Durée | 1 heure et 37 minutes (97 minutes) | ||
Budget | 110 millions de dollars (469 % de rentabilité) | ||
Titre de travail | Filmore | ||
LLC | — | ||
Box-office | 506,87 millions de dollars 213,56 millions de dollars 1 630 899 millions d'entrées |
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Note | 1,04 / 10 Notes au 16/10/2023 - fiables à 65 % |
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ORDRE DU SSU | |||
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Après avoir choisi le journaliste d'enquête Eddie Brock comme hôte, le symbiote extraterrestre Venom doit affronter un nouvel ennemi du nom de Carnage, qui se trouve à être l'alter ego du tueur en série Cletus Kasady.
« Tous ceux que l'on abandonne derrière nous, et dans quel état on les laisse ? Un lit conjugal, vide, la longue attente dans les ténèbres d'un sauveur qui ne viendra jamais. »
— Cletus Kasady —
Le film Venom : Let There Be Carnage est développé par Sony Pictures et Marvel Entertainment, et est sorti le 20 octobre 2021 en France. Il sert de suite au film Venom (2018). Il s'agit du 2ème film de l'Univers Spider-Man de Sony. Le film est le premier à permettre la connexion officielle des films du SSU à l'Univers Cinématographique Marvel grâce à sa scène post-générique.
Le film est réalisé par Andy Serkis, co-scénarisé par Kelly Marcel et Tom Hardy et est sorti le 1er octobre 2021 aux États-Unis. On retrouve au casting Tom Hardy dans le rôle de Eddie Brock/Venom, Woody Harrelson dans le rôle de Cletus Kasady/Carnage, Michelle Williams dans le rôle d'Anne Weying, Reid Scott dans le rôle de Dan Lewis, Stephen Graham dans le rôle de Patrick Mulligan et Naomie Harris dans le rôle de Frances Barrison/Shriek.
La suite de Venom : Let There Be Carnage, Venom 3, sortira en juillet 2024. En raison de l'épidémie de Covid-19 en 2020/2021, le film fut reporté à de nombreuses reprises et était initialement programmé, en première instance, pour le 2 octobre 2020.
À venir …
Eddie Brock / Venom incarné par Tom Hardy |
Symbiote Venom doublé et incarné par Tom Hardy, Peggy Lu et Michelle Williams |
Anne Weying incarnée par Michelle Williams |
Frances Barrison / Shriek incarnée par Naomie Harris et Olumide Olorunfemi (jeune) |
Dr. Dan Lewis incarné par Reid Scott |
Inspecteur Patrick Mulligan incarné par Stephen Graham et Sean Delaney (jeune) |
Cletus Kasady / Carnage incarné par Woody Harrelson et Jack Bandeira (jeune) |
Symbiote Carnage doublé et incarné par Woody Harrelson |
Dr. Camille Pazzo incarnée par Sian Webber |
Siegfried incarné par Scroobius Pip |
Directeur de la prison incarné par Stewart Alexander |
J. Jonah Jameson (univers alternatif) incarné par J.K. Simmons (post-générique ; non crédité) |
Peter Parker / Spider-Man (univers alternatif) incarné par Tom Holland (post-générique ; non crédité) |
Évènements & chronologie
- Massacre de Carnage
- Bataille de la Life Foundation (mentionnée)
- Bataille de Londres (mentionnée ; Univers-616)
Dans Venom : Let There Be Carnage, plusieurs éléments indiquent que les événements principaux du film se dérouleront en octobre-novembre 2020. Le premier film, Venom, se déroulant en 2018, avec un saut de six mois au sein de celui-ci, les évènements de ce second opus sont à prendre à sa suite, comme l'a confirmé le réalisateur Andy Serkis, qui déclaré qu'un an et demi s'écoulait entre les deux films. Ainsi, Venom : Let There Be Carnage devrait se dérouler environ 24 mois après le prologue de Venom, très probablement en 2020.
Dans le film, un magazine datant de 2020 apparaît dans le magasin de Mme Chen. Serkis a expliqué que Shriek a passé 25 ans à Ravencroft. Comme le montre le film, Barrison a été envoyée à Ravencroft en 1996, ce qui signifie que le présent se situerait en 2021. Au vu des autres preuves apportées dans le film, cette date est peu probable. La meilleure solution possible serait que Barrison ait été enfermé au début de l'année 1996 et que les principaux événements de Venom : Let There Be Carnage se déroulent à la fin de l'année 2020 (24 ans, soit près de 25 ans). Venom assiste à une fête qui est implicitement pour Halloween ou la Día de Muertos, qui tombent respectivement le 31 octobre et les 1er et 2 novembre de chaque année. Cela signifie que le film se déroulerait aux alentours d'octobre-novembre 2020, correspondant idéalement à une fin d'année. La première ébauche de l'article d'Eddie Brock pour le Daily Bugle est daté du « 10.29.20 », ce qui situe définitivement la scène le 29 octobre 2020 et s'accorde parfaitement avec les autres éléments de preuve. Ainsi, les évènements de Venom : Let There Be Carnage peuvent être placés du 28 octobre au 3 novembre 2020.
Organisations
- Département de police de San Francisco
- The Daily Bugle
- The Daily Bugle (Univers-616)
- Life Foundation (mentionnée)
- FBI (mentionné)
Mention
Le film Venom : Let There Be Carnage est noté … 1,04 / 10 3ème note de l'ensemble des films du SSU |
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Moyenne de Marvel CinéVerse | 1,5 / 10 |
Lucas, créateur de Marvel CinéVerse « Un ensemble consternant et irrespectueux qui réduit à néant le peu de positif du premier opus. » |
1 / 10 |
Keyyis, ex-contributeur de Marvel CinéVerse | 1 / 10 |
Valentin, ex-contributeur de Marvel CinéVerse « Un film catastrophique dont le seul exploit à saluer est de réussir à faire pire que le premier. » |
0,5 / 10 |
Léo, ex-contributeur de Marvel CinéVerse | 1 / 10 |
Dark Théo, contributeur de Marvel CinéVerse | 2 / 10 |
Élodie, ex-contributrice de Marvel CinéVerse | 3 / 10 |
Bananël, ex-contributeur de Marvel CinéVerse | - / 10 |
Max Timely, associé-partenaire de Marvel CinéVerse | 2 / 10 |
Critique de Lucas
Venom : Let There Be Carnage prend la suite d’un mauvais premier opus sorti il y a maintenant 3 ans. Que peut-on espérer ? Peut-t-on faire pire ? Malheureusement … Oui. Venom : Let There Be Carnage n’est qu’un ensemble consternant et irrespectueux qui réduit à néant le peu de positif du premier opus. Andy Serkis envoie donc définitivement le Venom de l’univers Sony à l’abattoir, faisant définitivement de lui une création exécrable et désormais quasiment irrécupérable. Peut-être que oui, à un moment, il ne sera plus possible de faire pire …
D’entrée, Venom est ridicule. Ni plus ni moins. Comme peut-on avoir l’idée de faire de Venom un tel enfant ? Comment peut-on repasser sur ça et le valider ? Le développement Venom/Eddie Brock ne va donc pas dans le bon sens, à l’instar de cette pseudo scène d’affrontement. Cette relation avait le mérite d’être un élément de bonne volonté du premier opus … Ici, les choix scénaristiques et la transcription à l’écran détruisent au bulldozer le peu de travail positif inséré par le passé. Une catastrophe industrielle à l’état pur. Tant de scènes « humoristiques » extrêmement lourdes et lamentables qui ne sont au final qu’une seule chose … extrêmement irrespectueuses pour le matériel d’origine, d’autant plus à l’heure où les développements comics de Donny Cates font rayonner le personnage. Dans tout ça, Tom Hardy reste au final un intrus de son propre rôle. On retiendra néanmoins une volonté de montrer un Eddie Brock brisé, mais d’une façon extrêmement maladroite et gâchée par moments. Dans un contexte plus global avec un éventuel Spider-Man, une éventuelle direction scénaristique intéressante … Le potentiel serait là.
Passons à Carnage. Le dérangement psychologique de Cletus Kasaty est présent. Il est développé de plusieurs manières extrêmement intéressantes et au final, Woody Harrelson est tout à fait capable de le retranscrire. Ne minimisons pas la performance qui est forte, mais là encore bridée et gâchée par l’ensemble du cadre Venom. Il est d’ailleurs grandement dommage que le début du film aille à la vitesse grand V et ne s’attarde pas sur son passé. Celui-ci est expédié via une scène graphique … Comme si celle-ci devait simplement être là pour être là … Oui, elle est nécessaire mais pour autant, elle aurait pu apporter un impact approfondi au personnage. Pourquoi avoir voulu faire un tel démarrage ? La reprise d’entrée de l’intrigue de Venom (2018), à la suite de la scène post-générique, est sacrément déconcertante.
Ainsi, tout n’est pas à jeter chez ce Carnage. Bien que la scène de transmission du symbiote reste fidèle aux comics et offre une première scène d’action avec le méchant qui est forte. Là encore, certains éléments ridicules viennent ternir l’addition comme la « tornade » dans la prison … Au milieu de ce véritable carnage, les ratés et facilités sont alors dix fois plus visibles : où passe le corps de Kasady quand Carnage ouvre son ventre pour laisser passer des balles ? Comment Carnage devient un hackeur informatique ? Au final, Carnage est tout de même le point « le plus positif » du film ... ou le moins raté. Le combat final – ou devrais-je dire l’unique – est globalement prenant et par moments épique, même si le dénouement final est catastrophique. Sortons du pessimisme ambiant pour noter que Carnage est visuellement bien réussi, bien plus « léger » et moins massif que Venom. Peut-être que sa taille peut un peu déranger toutefois.
Du côté des autres personnages, le personnage de Patrick Mulligan (Stephan Graham) est un ancrage terre-à-terre qui fait – et c’est peu dire – un bien fou dans tout ce triste ensemble. Quant à Shriek (Naomie Harris), elle est réduite au rang de simple antagoniste sans le moindre développement intéressant. Triste. Du côté des musiques, nous nous situons sur du passable, sans véritable plus. Au final, Venom : Let There Be Carnage est un exploit. Bien entendu, le film entre dans la catégorie de ce que certains pourraient qualifier de « navets ». Je n’imagine même pas la douleur des plus grands connaisseurs et suiveurs de Venom dans les comics. Mais l’horreur va encore plus loin puisque rien de neuf et de positif n’est introduit et le peu d’éléments constructifs du premier film sont balayés. Une hérésie. Un échec.
Contenu positif | Contenu « négatif » |
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Note : 1 / 10 |
Critique de Valentin
Trois ans après la sortie du premier film (et après un certain nombre de conflits entre Sony Pictures et Marvel Studios au sujet de la franchise arachnéenne), Venom est de retour au cinéma, affrontant cette fois un ennemi franchement désigné par son titre, Venom : Let There Be Carnage !
Le concept est toujours le même : Eddie Brock/Venom évolue dans un univers dénué de Spider-Man mais creuse un peu plus l'univers du Tisseur au cinéma en employant des éléments clés de sa mythologie. Suite aux critiques globalement très négatives à l'encontre du premier film, le spectateur était en mesure d'attendre mieux de ce nouvel opus (qu'il soit pour ou non), espérant que le studio ait pris note des retours du public... Ne tournons pas autour du pot : il n'en est rien. Conforté par des résultats au box office plus qu'honorables, la production fait ce qu'Hollywood sait faire de mieux (ironie) : on prend les mêmes et on recommence, puissance dix mille ! Loin de tenter une quelconque rédemption, Sony livre donc une copie honteusement mauvaise. Passons aux détails !
Le film lance vite son propos (si tant est qu'il y ait un réel propos), profitant de son heure et demie de durée pour ne pas s'apesantir inutilement sur de l'exposition lourdingue : Cletus Kasady, interprété par Woody Harrelson, est très vite introduit et mis en relation avec Eddie Brock. Sur le papier, cette rapide introduction est donc alléchante (d'autant plus si elle permet d'éviter une pitoyable écriture des dialogues) mais, dans les faits, tout cela est tellement précipité que l'on se demande si l'on ne s'est pas endormi les quelques premières minutes (mais non, ce n'est que le début !). Outre cette relation entre Eddie et Cletus, c'est également la relation entre Eddie et son symbiote qui est explorée, source des scènes les plus gếnantes du long-métrage : Eddie est débile et devenue une victime (dans le sens péjoratif du terme), le symbiote étant quant à lui réduit au bouffon de service. Le film revient en effet sur tout le """développement""" du premier opus, dans lequel Eddie parvenait à imposer à Venom ses règles. Ici, Venom est désireux de manger tout ce qui bouge, réclamant du chocolat comme un gamin capricieux que l'on souhaiterait claquer, tandis qu'Eddie se voit dégradé au point d'habiter avec des poules (quelle blague !) dans son propre appartement... Le reste des personnages est transparent et/ou prétexte à des scènes à but humoristique (malheureusement, les buts ne sont pas marqués).
Parlons un instant du jeu : après un premier film où Tom Hardy était en totale roue libre (on pense à toi, l'aquarium de homards !), l'entièreté du casting s'aligne sur la prestation de l'acteur-producteur. Aucun moment de justesse, les acteurs n'ont absolument aucune envie d'être là et aucune conviction en ce qu'ils jouent. L'exploit de Venom : Let There Be Carnage est donc le suivant : il réussit à faire mal jouer des acteurs de prestige comme Tom Hardy, TWoody Harrelson ou Michelle Williams. Outre l'écriture catastrophique des dialogues, les acteurs récitent un texte avec le surjeu le plus grotesque possible (mention spéciale à Naomie Harris dont la prestation se résume à des cris, des cris, du rire diabolique, des cris et de l'ivresse). L'objectif est clair : chacun récupère son chèque à moindre effort et on passe à autre chose !
Côté scénario, on frôle le néant. Les motivations de Cletus Kasady sont incompréhensibles, son écriture étant probablement l'exemple des choses à ne pas faire : le personnage est fou, agit comme tel et le reconnaît... mais se trouve étonné d'être mis à mort ? Sa haine contre Eddie sort de nulle part (heureusement que l'animosité de Carnage envers Venom est un poil compréhensible). Tout est ridicule concernant l'écriture du film, à l'image de la transformation de Cletus en Carnage. La temporalité n'a aucun sens, la succession de scènes n'a généralement aucune logique narrative, l'échelle de puissance est aberrante (tantôt le symbiote s'écarte devant un obstacle comme si aucun corps humain n'était à l'intérieur, tantôt le symbiote est sensible aux lames au même endroit ; Carnage a 1000 pouvoirs sortis de nulle part...). Le film n'a par conséquent aucun rythme malgré sa courte durée, le tout passant comme un enchaînement de "moments" tous plus gênants les uns que les autres. En somme, tout n'est que cyclique : Venom veut manger, Eddie refuse, donc le duo se dispute ; Cletus/Carnage est très méchant (bis repetita).
Un mot sur les CGI : toujours plus affreux, dans la lignée du combat final de Venom, même l'incrustation et les textures sur des scènes basiques et sans mouvement ne fonctionnent plus. Le design des créatures est globalement passable (la majorité du temps). Rien à dire de plus, il est inutile de tirer encore plus sur l'ambulance : à l'image de tout le reste, le niveau descend encore d'un cran par rapport au premier film. Un truc gentil ? Il y a 20 ans, ce film aurait pu être beau !
Pour trouver quelques points positifs (on va essayer), notons une narration visuellement intéressante sur l'enfance de Cletus Kasady (mais narrativement honteuse tant elle essaie d'humaniser un méchant qui n'a rien à sauver) et une première scène de Carnage plutôt cool (même si elle se conclut évidemment dans une bouillie visuelle incompréhensible... pourquoi Carnage crée-t-il des tornades ?). Mais... C'est bien les seules choses que l'on pourrait potentiellement sauver.
En bref, nous ne pouvons que vous inviter à vous tourner vers les comics si toutefois vous souhaitiez apprécier du vrai Venom et/ou Carnage. Quelques points sont empruntés aux comics (Shriek, Ravencroft ou encore Pat Mulligan, futur Toxin), mais tellement anecdotiques ou dénaturés qu'ils ne sont même pas appréciables. N'oublions évidemment pas le Venom blagueur et débile, le Carnage qui ne verse pas une seule goutte de sang et l'absence totale de Spider-Man (...).
Un mot sur la scène post-générique : on y est. Mais qui voulait vraiment cela ? Quelle personne normalement constituée peut être hypée par une telle nouveauté avec un personnage écrit de la sorte ? Qui souhaite encore voir à l'écran un tel Venom, d'autant plus dans le futur contexte esquissé par cette scène ? [Ne tenons même pas compte de l'animosité avérée de votre rédacteur envers cette manoeuvre honteuse de la part de Sony : c'est avec une réelle objectivité que je pose la question. Quel fan peut être décemment content de voir cette post-générique ?]
En bref, ce film est un grand n'importe quoi, qui ne tire aucune leçon du passé et se morfond dans son cynisme en crachant au visage du spectateur. Il est évident qu'aucun n'effort n'a été fait, tant dans l'écriture que le jeu des acteurs. Le studio sert la même m*rde, sans aucune considération artistique ou de respect envers qui que soit (spectateurs, créateurs des personnages ou même les équipes de Marvel Studios). Ce film est sincèrement une honte, un exemple indécent de ce que la pop-culture ne doit pas être (auquel cas les critiques virulentes à son égard n'évolueront jamais)... Le plus triste dans cela, c'est que cette "bande-annonce chaotique d'1h30" pour la scène post-générique fonctionnera au box-office et confortera une nouvelle fois Sony à nous resservir ce plat réchauffé (mais périmé), véritable insulte à l'égard de tout fan des personnages et/ou du MCU. Bonne chance Kevin.
Contenu positif | Contenu « négatif » |
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Note : 0,5 / 10 |
Date de dernière mise à jour : Mar 17 oct 2023
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