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  • Spider-Man - Une nouvelle trilogie est en développement !

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    Une fois n'est pas coutume, la productrice Amy Pascal, chargée de la franchise Spider-Man chez Sony Pictures, n'aura pas tenu sa langue avant la sortie d'un nouveau long-métrage, révélant l'avenir de la franchise arachnéenne sur grand écran...

    Ce n'est pas évidemment pas une surprise mais toujours bon à savoir officiellement : Tom Holland portera le masque de Spider-Man pour au moins trois nouveaux films solo au sein du MCU. Amy Pascal a en effet précisé que "[Spider-Man : No Way Home] n'est pas le dernier film que nous [Sony] allons faire avec Marvel. Nous nous préparons déjà à faire le prochain film Spider-Man avec Tom Holland et Marvel [...]. Nous pensons à trois films, maintenant nous passons aux trois prochains. [Spider-Man : No Way Home] n'est donc pas notre dernier film au sein du MCU".

    Spider-Man a donc de beaux jours devant lui au sein du MCU ! Pour information, l'information avait plus ou moins fuité il y a déjà quelques semaines puisque des rumeurs affirmaient qu'une nouvelle trilogie était attendue, couplée à trois saisons d'une série (ou trois mini-séries) comblant les trous entre les films... Quoiqu'il en soit, direction l'université pour Peter Parker qui quittera enfin le lycée ! Affrontera-t-il des méchants issus du SUMC ? Deviendra-t-il un Avenger majeur ? La réponse (peut-être) après Spider-Man : No Way Home !

    Pour la première fois dans l'histoire cinématographique de Spider-Man, notre sympathique héros est démasqué et ne peut plus séparer sa vie normale des gros enjeux d'être un super-héros. Quand il demande l'aide de Docteur Strange, les enjeux sont d'autant plus dangereux, l'obligeant à comprendre ce que cela signifie vraiment d'être Spider-Man.

    Le film Spider-Man : No Way Home est réalisé par Jon Watts et sortira le 15 décembre 2021 avec Tom Holland dans le rôle de Peter Parker/Spider-ManZendaya dans le rôle de Michelle JonesJacob Batalon dans le rôle de Ned LeedsMarisa Tomei dans le rôle de May ParkerBenedict Cumberbatch dans le rôle de Stephen Strange/Dr. StrangeJon Favreau dans le rôle de Happy HoganJamie Foxx dans le rôle de Max Dillon/Electro et Alfred Molina dans le rôle de Otto Octavius/Dr. Octopus.

    Sources :

    • Fandango

  • Venom : Let There Be Carnage - Critique du film et intégration du SSU à Marvel CinéVerse !

    Venomlettherebecarnage banniere

    Presque un mois après la sortie de Venom : Let There Be Carnage, le recul est désormais pris quant au dénouement du film qui mené à une scène post-générique marquante où Venom semble débarquer tout droit dans l'Univers Cinématographique Marvel. Le temps nous permettra probablement de comprendre comment Eddie Brock a été transporté dans un autre univers, où Venom semble connaître ou tout du moins s'intéresser à Spider-Man. Venom possède-t-il un esprit de ruche Multiversel, qui a par conséquent connaissance de Spider-Man ? Peut-il alors être lié au Venom de Spider-Man 3 ?

    À travers ces nouveautés et ces questions, l'Univers Spider-Man de Sony (ou Sony's Spider-Man Universe pour son nom le plus récent) débarque officiellement sur Marvel CinéVerse puisqu'il est désormais relié au MCU. L'univers créé en 2018 par Sony Pictures avec le premier film Venom continuera sa route dès le mois de janvier 2022 avec le mystérieux mais potentiellement prometteur Morbius. Un univers Spider-Man sans Spider-Man était-il viable sur la durée sans lui ? Dès aujourd'hui, les films du SSU sont présents dans la rubrique Films > Univers Spider-Man de Sony. Les futures séries comme Silk seront aussi intégrées à l'avenir. Du côté de l'encyclopédie, les personnages, lieux, objets, évènements et datations seront également progressivement ajoutées. Passons désormais à deux critiques du film Venom : Let There Be Carnage.

    Critique de Valentin

    Trois ans après la sortie du premier film (et après un certain nombre de conflits entre Sony Pictures et Marvel Studios au sujet de la franchise arachnéenne), Venom est de retour au cinéma, affrontant cette fois un ennemi franchement désigné par son titre, Venom : Let There Be Carnage !

    Le concept est toujours le même : Eddie Brock/Venom évolue dans un univers dénué de Spider-Man mais creuse un peu plus l'univers du Tisseur au cinéma en employant des éléments clés de sa mythologie. Suite aux critiques globalement très négatives à l'encontre du premier film, le spectateur était en mesure d'attendre mieux de ce nouvel opus (qu'il soit pour ou non), espérant que le studio ait pris note des retours du public... Ne tournons pas autour du pot : il n'en est rien. Conforté par des résultats au box office plus qu'honorables, la production fait ce qu'Hollywood sait faire de mieux (ironie) : on prend les mêmes et on recommence, puissance dix mille ! Loin de tenter une quelconque rédemption, Sony livre donc une copie honteusement mauvaise. Passons aux détails !

    Anne eddie

    Le film lance vite son propos (si tant est qu'il y ait un réel propos), profitant de son heure et demie de durée pour ne pas s'apesantir inutilement sur de l'exposition lourdingue : Cletus Kasady, interprété par Woody Harrelson, est très vite introduit et mis en relation avec Eddie Brock. Sur le papier, cette rapide introduction est donc alléchante (d'autant plus si elle permet d'éviter une pitoyable écriture des dialogues) mais, dans les faits, tout cela est tellement précipité que l'on se demande si l'on ne s'est pas endormi les quelques premières minutes (mais non, ce n'est que le début !). Outre cette relation entre Eddie et Cletus, c'est également la relation entre Eddie et son symbiote qui est explorée, source des scènes les plus gếnantes du long-métrage : Eddie est débile et devenue une victime (dans le sens péjoratif du terme), le symbiote étant quant à lui réduit au bouffon de service. Le film revient en effet sur tout le """développement""" du premier opus, dans lequel Eddie parvenait à imposer à Venom ses règles. Ici, Venom est désireux de manger tout ce qui bouge, réclamant du chocolat comme un gamin capricieux que l'on souhaiterait claquer, tandis qu'Eddie se voit dégradé au point d'habiter avec des poules (quelle blague !) dans son propre appartement... Le reste des personnages est transparent et/ou prétexte à des scènes à but humoristique (malheureusement, les buts ne sont pas marqués).

    Parlons un instant du jeu : après un premier film où Tom Hardy était en totale roue libre (on pense à toi, l'aquarium de homards !), l'entièreté du casting s'aligne sur la prestation de l'acteur-producteur. Aucun moment de justesse, les acteurs n'ont absolument aucune envie d'être là et aucune conviction en ce qu'ils jouent. L'exploit de Venom : Let There Be Carnage est donc le suivant : il réussit à faire mal jouer des acteurs de prestige comme Tom Hardy, TWoody Harrelson ou Michelle Williams. Outre l'écriture catastrophique des dialogues, les acteurs récitent un texte avec le surjeu le plus grotesque possible (mention spéciale à Naomie Harris dont la prestation se résume à des cris, des cris, du rire diabolique, des cris et de l'ivresse). L'objectif est clair : chacun récupère son chèque à moindre effort et on passe à autre chose !

    Shriek

    Côté scénario, on frôle le néant. Les motivations de Cletus Kasady sont incompréhensibles, son écriture étant probablement l'exemple des choses à ne pas faire : le personnage est fou, agit comme tel et le reconnaît... mais se trouve étonné d'être mis à mort ? Sa haine contre Eddie sort de nulle part (heureusement que l'animosité de Carnage envers Venom est un poil compréhensible). Tout est ridicule concernant l'écriture du film, à l'image de la transformation de Cletus en Carnage. La temporalité n'a aucun sens, la succession de scènes n'a généralement aucune logique narrative, l'échelle de puissance est aberrante (tantôt le symbiote s'écarte devant un obstacle comme si aucun corps humain n'était à l'intérieur, tantôt le symbiote est sensible aux lames au même endroit ; Carnage a 1000 pouvoirs sortis de nulle part...). Le film n'a par conséquent aucun rythme malgré sa courte durée, le tout passant comme un enchaînement de "moments" tous plus gênants les uns que les autres. En somme, tout n'est que cyclique : Venom veut manger, Eddie refuse, donc le duo se dispute ; Cletus/Carnage est très méchant (bis repetita).

    Un mot sur les CGI : toujours plus affreux, dans la lignée du combat final de Venom, même l'incrustation et les textures sur des scènes basiques et sans mouvement ne fonctionnent plus. Le design des créatures est globalement passable (la majorité du temps). Rien à dire de plus, il est inutile de tirer encore plus sur l'ambulance : à l'image de tout le reste, le niveau descend encore d'un cran par rapport au premier film. Un truc gentil ? Il y a 20 ans, ce film aurait pu être beau !

    Venom

    Pour trouver quelques points positifs (on va essayer), notons une narration visuellement intéressante sur l'enfance de Cletus Kasady (mais narrativement honteuse tant elle essaie d'humaniser un méchant qui n'a rien à sauver) et une première scène de Carnage plutôt cool (même si elle se conclut évidemment dans une bouillie visuelle incompréhensible... pourquoi Carnage crée-t-il des tornades ?). Mais... C'est bien les seules choses que l'on pourrait potentiellement sauver.

    En bref, nous ne pouvons que vous inviter à vous tourner vers les comics si toutefois vous souhaitiez apprécier du vrai Venom et/ou Carnage. Quelques points sont empruntés aux comics (Shriek, Ravencroft ou encore Pat Mulligan, futur Toxin), mais tellement anecdotiques ou dénaturés qu'ils ne sont même pas appréciables. N'oublions évidemment pas le Venom blagueur et débile, le Carnage qui ne verse pas une seule goutte de sang et l'absence totale de Spider-Man (...).

    Un mot sur la scène post-générique : on y est. Mais qui voulait vraiment cela ? Quelle personne normalement constituée peut être hypée par une telle nouveauté avec un personnage écrit de la sorte ? Qui souhaite encore voir à l'écran un tel Venom, d'autant plus dans le futur contexte esquissé par cette scène ? [Ne tenons même pas compte de l'animosité avérée de votre rédacteur envers cette manoeuvre honteuse de la part de Sony : c'est avec une réelle objectivité que je pose la question. Quel fan peut être décemment content de voir cette post-générique ?]

    En bref, ce film est un grand n'importe quoi, qui ne tire aucune leçon du passé et se morfond dans son cynisme en crachant au visage du spectateur. Il est évident qu'aucun n'effort n'a été fait, tant dans l'écriture que le jeu des acteurs. Le studio sert la même m*rde, sans aucune considération artistique ou de respect envers qui que soit (spectateurs, créateurs des personnages ou même les équipes de Marvel Studios). Ce film est sincèrement une honte, un exemple indécent de ce que la pop-culture ne doit pas être (auquel cas les critiques virulentes à son égard n'évolueront jamais)... Le plus triste dans cela, c'est que cette "bande-annonce chaotique d'1h30" pour la scène post-générique fonctionnera au box-office et confortera une nouvelle fois Sony à nous resservir ce plat réchauffé (mais périmé), véritable insulte à l'égard de tout fan des personnages et/ou du MCU. Bonne chance Kevin.

    Contenu positif Contenu « négatif »
    • La (courte) durée
    • L'humour
    • Le manque de respect des personnages
    • La prestation des acteurs
    • L'écriture
    • Les effets spéciaux
    • La scène post-générique
    • Le manque de respect au public
    Note : 0,5 / 10

    Critique de Lucas

    Venom : Let There Be Carnage prend la suite d’un mauvais premier opus sorti il y a maintenant 3 ans. Que peut-on espérer ? Peut-t-on faire pire ? Malheureusement … Oui. Venom : Let There Be Carnage n’est qu’un ensemble consternant et irrespectueux qui réduit à néant le peu de positif du premier opus. Andy Serkis envoie donc définitivement le Venom de l’univers Sony à l’abattoir, faisant définitivement de lui une création exécrable et désormais quasiment irrécupérable. Peut-être que oui, à un moment, il ne sera plus possible de faire pire …

    D’entrée, Venom est ridicule. Ni plus ni moins. Comme peut-on avoir l’idée de faire de Venom un tel enfant ? Comment peut-on repasser sur ça et le valider ? Le développement Venom/Eddie Brock ne va donc pas dans le bon sens, à l’instar de cette pseudo scène d’affrontement. Cette relation avait le mérite d’être un élément de bonne volonté du premier opus … Ici, les choix scénaristiques et la transcription à l’écran détruisent au bulldozer le peu de travail positif inséré par le passé. Une catastrophe industrielle à l’état pur. Tant de scènes « humoristiques » extrêmement lourdes et lamentables qui ne sont au final qu’une seule chose … extrêmement irrespectueuses pour le matériel d’origine, d’autant plus à l’heure où les développements comics de Donny Cates font rayonner le personnage. Dans tout ça, Tom Hardy reste au final un intrus de son propre rôle. On retiendra néanmoins une volonté de montrer un Eddie Brock brisé, mais d’une façon extrêmement maladroite et gâchée par moments. Dans un contexte plus global avec un éventuel Spider-Man, une éventuelle direction scénaristique intéressante … Le potentiel serait là.

    Passons à Carnage. Le dérangement psychologique de Cletus Kasaty est présent. Il est développé de plusieurs manières extrêmement intéressantes et au final, Woody Harrelson est tout à fait capable de le retranscrire. Ne minimisons pas la performance qui est forte, mais là encore bridée et gâchée par l’ensemble du cadre Venom. Il est d’ailleurs grandement dommage que le début du film aille à la vitesse grand V et ne s’attarde pas sur son passé. Celui-ci est expédié via une scène graphique … Comme si celle-ci devait simplement être là pour être là … Oui, elle est nécessaire mais pour autant, elle aurait pu apporter un impact approfondi au personnage. Pourquoi avoir voulu faire un tel démarrage ? La reprise d’entrée de l’intrigue de Venom (2018), à la suite de la scène post-générique, est sacrément déconcertante.

    Ainsi, tout n’est pas à jeter chez ce Carnage. Bien que la scène de transmission du symbiote reste fidèle aux comics et offre une première scène d’action avec le méchant qui est forte. Là encore, certains éléments ridicules viennent ternir l’addition comme la « tornade » dans la prison … Au milieu de ce véritable carnage, les ratés et facilités sont alors dix fois plus visibles : où passe le corps de Kasady quand Carnage ouvre son ventre pour laisser passer des balles ? Comment Carnage devient un hackeur informatique ? Au final, Carnage est tout de même le point « le plus positif » du film ... ou le moins raté. Le combat final – ou devrais-je dire l’unique – est globalement prenant et par moments épique, même si le dénouement final est catastrophique. Sortons du pessimisme ambiant pour noter que Carnage est visuellement bien réussi, bien plus « léger » et moins massif que Venom. Peut-être que sa taille peut un peu déranger toutefois.

    Du côté des autres personnages, le personnage de Patrick Mulligan (Stephan Graham) est un ancrage terre-à-terre qui fait – et c’est peu dire – un bien fou dans tout ce triste ensemble. Quant à Shriek (Naomie Harris), elle est réduite au rang de simple antagoniste sans le moindre développement intéressant. Triste. Du côté des musiques, nous nous situons sur du passable, sans véritable plus. Au final, Venom : Let There Be Carnage est un exploit. Bien entendu, le film entre dans la catégorie de ce que certains pourraient qualifier de « navets ». Je n’imagine même pas la douleur des plus grands connaisseurs et suiveurs de Venom dans les comics. Mais l’horreur va encore plus loin puisque rien de neuf et de positif n’est introduit et le peu d’éléments constructifs du premier film sont balayés. Une hérésie. Un échec.

    Contenu positif Contenu « négatif »
    • Les symbiotes demeurent visuellement réussis
    • Carnage reste relativement passable avec un bon début de développement
    • Le combat final, prenant et intéressant
    • Patrick Mulligan
    • Le manque de respect atroce pour le personnage de Venom
    • Les points positifs de la relation Eddie/Venom du premier film sont balayés
    • Shriek
    • Un dénouement final lamentable
    • Énormément de facilités
    • Un rythme bâclé
    Note : 1 / 10
     

    Environ un an après avoir affronté Riot, Eddie Brock « cohabite » toujours avec le symbiote Venom. Eddie tente de relancer sa carrière de journaliste d'investigation. Il se rend alors en prison pour interviewer le tueur en série Cletus Kasady. Il ignore que ce dernier est lui aussi l'hôte d'un symbiote, Carnage.

    Le film Venom : Let There Be Carnage est réalisé par Andy Serkis et est sorti au cinéma depuis le 20 octobre 2021 en France avec Tom Hardy dans le rôle d'Eddie Brock/Venom, Woody Harrelson dans le rôle de Cletus Kasady/Carnage, Michelle Williams dans le rôle d'Anne Weying, Reid Scott dans le rôle de Dan Lewis, Naomie Harris dans le rôle de Frances Barrison/Shriek et Stephan Graham dans le rôle de Patrick Mulligan.

  • Hawkeye - Sortie des deux premiers épisodes "Ne jamais rencontrer ses héros" [01x01] et "Cache-cache" [01x02] + review !

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    Et à Hawkeye d’entrer dans notre ligne de mire ! L’archer vedette des Avengers va-t-il tirer dans le mile avec ses aventures solo sur petit écran ? Aujourd’hui, la boucle est bouclée puisque Clint Barton était donc le seul Avenger original qui ne possédait pas de projet centré sur lui. Il est aussi le seul des 6 à n’avoir « qu’une » série. Un mal pour un bien ? Hawkeye est probablement également le personnage le plus en retrait de ce club des six et une série solo pourra éventuellement permettre de l’amener sur le devant de la scène, d’autant plus avec l’adaptation de l’arc de Matt Fraction et David Aja.

    Deux épisodes pour démarrer, avec premièrement Ne jamais rencontrer ses héros. D’entrée, la série s’ancre à l’évènement le plus emblématique du MCU, la bataille de New York d’Avengers (2012). C’est accessoire, puisque qu’aujourd’hui les séries Marvel Television sont aux oubliettes, mais la notion de perte liée à cette bataille-ci n’est pas nouvelle. C’est un élément central de la série Daredevil, mais aussi abordé dans Les Agents du S.H.I.E.L.D. ou même Jessica Jones. Néanmoins, la connexion avec le héros est toute faite et permet d’entrer tout de suite dans l’essence même du personnage Kate Bishop.

    Comme promis, Hailee Steinfeld crève l’écran. On distingue tout de suite que l’actrice peut apporter un souffle à son personnage qui est plus limité chez Clint Barton. Ce premier épisode part sur un rythme relativement tranquille, dont on n’est plus étranger avec les démarrages des séries Marvel Studios/Disney+. Les bases sont posées, sans véritable pression, et permettent de s’installer dans le fauteuil du côté humain des personnages. Je soulignerais un passage qui sera peut-être anecdotique pour certains, mais prenant pour ma part : la réaction de Barton face à « Black Widow ». Un énième hommage trop maigre au personnage. Peut-être plus pour la suite ?

    Dans cet ensemble tranquille, quelques longueurs viennent s’immiscer, notamment dans la poursuite de Kate Bishop ; là où réside pourtant l’action de l’épisode. Toutefois, malgré des carences rythmiques au démarrage, une force se dégage ailleurs : celle dans le côté terre-à-terre. Certes, rien de bien folichon pour le moment, mais le côté Noël mélangé à une ambiance s’approchant par moments de celle de Daredevil, c’est intéressant. Le niveau n’est pas le même, mais le potentiel est visible. Les clins d’œil aussi (cf. le bâtiment de la vente aux enchères est le même que celui utilisé par Wilson Fisk dans la saison 3).

    En outre, rien d’exceptionnel pour le moment, mais une base solide et intéressante. Les attaches au matériel comics original sont là, les liens aux MCU aussi. Il ne reste maintenant plus qu’à accélérer ou brusquer tout ce beau monde !

    Hawkeye - S01E01 : Ne jamais rencontrer ses héros - Kate Bishop, une jeune archère, se retrouve dans un complot, forçant Hawkeye à intervenir.

    Contenu positif Contenu « négatif »
    • Ancrages au MCU solides, même si pas inédits
    • Hailee Steinfeld
    • L'ambiance terre-à-terre / criminelle
    • Un rythme de démarrage pas exceptionnel
    Note : 6,5 / 10

    Passons maintenant au second épisode Cache-cache. Ici l’histoire ne décolle pas très loin, prenant son temps pour développer d’autres aspects plus « humains », comme un début de prise sous son aile de Kate Bishop par Clint Barton. Le duo s’installe et déjà … Quel duo ! L’expérience terre-à-terre de Clint Barton et l’insouciance à toute épreuve de Kate Bishop. Ça promet pour la suite et espérons qu’on assiste rapidement aux premières scènes d’actions avec les deux. L’attache de Kate est extrêmement forte et on discerne des dynamiques humaines sont et seront très intéressantes.

    Du côté de l’antagonisme, les mafieux en survêtements apportent une petite touche d’humour qui reste cohérente à l’ambiance globale voulue par la série (Bro ?). A côté de cela, Jack Duquesne (Tony Dalton) apporte une bonne dose de mystère lui aussi. Il sera curieux de voir s’il le côté « criminels à New York » et le mystère Duquesne se lieront à terme. Je pense que serait une bonne chose si cela venait à rester distinct.

    Du côté rythme, malheureusement on patine. Pas d’accélération, pas de réelle dynamique entraînante qui pourrait faire entrer dans la série les personnes encore dubitatives. Il ne faut pas oublier que les séries ne possèdent que … 6 épisodes. Il ne faudrait pas le regretter à la fin. Typiquement, le passage autour du jeu de rôle est trop long et pas assez important pour qu’on lui accorde autant de temps à l’écran. On notera également quelques soucis au niveau de la lisibilité à l’écran dans la réalisation de Rhys Thomas quand les choses s’accélèrent et que l’action débarque.

    Là où l’épisode vacille légèrement également, c’est au niveau du cliffhanger final qu’on est un peu trop laissé sur notre faim. Maya Lopez/Echo (Alaqua Cox) est introduite extrêmement rapidement. Malheureusement, le personnage n’est pas encore connu et le poids de menace qu’on veut qu’elle représente ici ne se fait pas ressentir. Pas encore. Une discussion avec Barton ou un peu plus d’éléments autour d’elle – de teasing dans l’épisode par exemple – auraient permis de rendre meilleur ce cliffhanger, surtout lorsqu’on compare avec ceux des autres séries, au même niveau d’avancement. Du côté du MCU, l’épisode permet nous permet, à être le regard de Kate et les remarques de Clint, d’avoir un regard plus critique sur le rôle de Barton jusqu’ici.

    En outre, cet épisode 2 est dans la droite lignée du premier. Pas excellent, mais très loin d’être mauvais. Toutefois, le manque de dynamisme nouveau ou de teasing de plus grande qualité ou ampleur fait que je ne le placerai peut-être un tout petit cran en deçà du premier.

    Hawkeye - S01E02 : Cache-cache - Clint doit aider Kate à échapper à la Mafia des Survêtes et à résoudre un meurtre mystérieux.

    Contenu positif Contenu « négatif »
    • La dynamique Clint Barton/Kate Bishop est excellente
    • Le mystère Jack Duquesne est bien construit
    • L'humour autour de la Mafia des Survêtes
    • Un rythme qui reste le même
    • Le passage « jeu de rôle », un peu long
    • Le cliffhanger final un peu faiblard
    Note : 6 / 10

    L’ancien Avenger Clint Barton a une mission apparemment simple : retourner dans sa famille pour Noël. Possible ? Peut-être avec l’aide de Kate Bishop, une archère de 22 ans qui rêve de devenir une super-héroïne. Ils vont devoir faire équipe alors qu’une présence du passé de Barton menace de faire dérailler l’esprit festif.

    La série Hawkeye est diffusée depuis le 24 novembre 2021 sur la plateforme Disney+ avec Jeremy Renner dans le rôle de Clint Barton/Hawkeye, Hailee Steinfeld dans le rôle de Kate Bishop, Vera Farminga dans le rôle de Eleanor BishopFlorence Pugh dans le rôle de Yelena BelovaFra Fee dans le rôle de KaziTony Dalton dans le rôle de Jack DuquesneAlaqua Cox dans le rôle de Maya Lopez/Echo et Zahn McClarnon dans le rôle de William Lopez.

  • Spider-Man : No Way Home - La seconde bande-annonce est disponible !

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    Limite plus attendue que le film en lui-même, la seconde bande-annonce de Spider-Man : No Way Home a été diffusée cette nuit en parallèle d'un « événement spécial » organisé à Los Angeles. Si les surprises de cette grosse projection se sont limitées à la présence de Tom Holland (et non d'autres spider-acteurs que tout le monde attendait/espérait), la bande-annonce aura quant à elle réussi avec brio à s'affranchir de la pression qui reposait sur elle.

    Cette bande-annonce est l'occasion de voir un peu plus en détails tous les méchants annoncés (et officialisant concrètement ceux qui n'étaient plus un secret) : le Docteur Octopus, le Bouffon Vert et l'Homme-Sable de Sam Raimi mais également Electro et le Lézard de Marc Webb (respectivement interprétés par leurs acteurs originaux)... une formation de super vilains qui ferait presque regretter l'absence d'un méchant supplémentaire pour former les Sinister Six. À moins que ? En effet, la vidéo semble nous en révéler un peu plus sur la direction prise par le film : le Docteur Octopus d'Alfred Molina semble en effet assez en retrait par rapport au reste des ennemis, probablement ennemi provisoire avant de reprendre le chemin de la rédemption (de quoi réjouir ceux qui craignaient un manque de respect total de l'arc du personnage dans Spider-Man 2 (2004)). Pour faire un tour du reste des méchants, notons que le Bouffon Vert semble plus déchaîné que jamais (et s'offrirait vraisemblablement une nouvelle tenue très brièvement aperçue), Electro s'offre un nouveau look pour une nouvelle vie (permettant par ailleurs d'adapter magistralement bien son costume 'kitsch' des comics) tandis que l'Homme-Sable et le Lézard restent fidèles à eux-mêmes.

    Petites curiosités, confirmations et questionnements en vrac : le multivers est bien ouvert suite au sort du Doctor Strange... mais à cause de l'interférence de Peter Parker (adieu les théories superflues d'un Suprême Strange maléfique ?) ; les méchants sont mystérieusement décrits comme tous "tués par un Spider-Man" (alors que le Lézard et l'Homme-Sable échappent normalement à ce descriptif) ; J. Jonah Jameson sera bien présent (qui rêve d'une rencontre entre 2 versions d'un JJJ par J.K. Simmons ?) ; Peter et son entourage vont vraisemblablement souffrir (combien de ses proches mourront ? quelles évidences du trailer n'en sont finalement pas ?) ; à combien d'univers correspond "tout le multivers" (seulement 2 univers ?)... En bref, cette bande-annonce soulève autant de questions que celles auxquelles elle répond.

    Mais revenons-en à ce qui occupait l'esprit des fans à l'approche de cette vidéo : Tobey Maguire et Andrew Garfield ! Si les rumeurs d'une discorde entre Marvel Studios (qui souhaiterait préserver le secret dans la promotion) et Sony (qui souhaiterait révéler la surprise avant la sortie du film) est vraie (supposant par la même occasion que la rumeur de leur présence est belle et bien vraie), il semblerait que Marvel Studios soit sorti gagnant de ce duel puisque le duo de Spider-Men est totalement absent de la vidéo... ou presque. Tout d'abord, apprécions les mentions claires à ces anciennes incarnations (mention spéciale au "Tu n'es pas Peter Parker" d'un Otto Octavius déconcerté). Si la dernière scène pose question (de qui parle Stephen Strange quand il dit "qu'ils arrivent" ?), c'est l'assaut du Spider-Man de Tom Holland contre le trio Lézard/Homme-Sable/Electro qui a fait le plus parler : si l'on y regarde de plus prêt, il semble indéniable que certains personnages (comme le Lézard) sont clairement en décalage par rapport au Spider-Man visible... un élément de réponse pourrait d'ailleurs être apporté par une version de la bande-annonce publiée au Brésil, dans laquelle la scène dure une seconde supplémentaire, laissant entrevoir le reptile géant prendre un coup invisible projetant sa tête en arrière... De là à imaginer que d'autres héros arachnéens ont été effacés numériquement, il n'y a qu'un pas (ou huit pattes) !

    Pour la première fois dans l'histoire cinématographique de Spider-Man, notre sympathique héros est démasqué et ne peut plus séparer sa vie normale des gros enjeux d'être un super-héros. Quand il demande l'aide de Docteur Strange, les enjeux sont d'autant plus dangereux, l'obligeant à comprendre ce que cela signifie vraiment d'être Spider-Man.

    Le film Spider-Man : No Way Home est réalisé par Jon Watts et sortira le 15 décembre 2021 avec Tom Holland dans le rôle de Peter Parker/Spider-ManZendaya dans le rôle de Michelle JonesJacob Batalon dans le rôle de Ned LeedsMarisa Tomei dans le rôle de May ParkerBenedict Cumberbatch dans le rôle de Stephen Strange/Dr. StrangeJon Favreau dans le rôle de Happy HoganJamie Foxx dans le rôle de Max Dillon/Electro et Alfred Molina dans le rôle de Otto Octavius/Dr. Octopus.

    Sources :

    • Sony Pictures

  • Ms. Marvel - Le premier aperçu du Disney+ Day !

     Ms marvel news

    Croyez-le ou non, parmi la foison de contenus Disney+ annoncés, seule une série est approximativement datée : depuis quelques jours, nous savons grâce à Bob Chapek, PDG de Disney, que Ms. Marvel sortira à l’été 2022 (juillet – septembre). Pour rappel, si nous revenons quelques mois en arrière, nous attendions la série aux alentours d’octobre - novembre 2021. Un beau bond qui s’explique probablement par le recul du film The Marvels (alias la suite spirituelle de Captain Marvel) au 17 février 2023, afin d’éviter un trop grand écart entre la sortie de la série et du long-métrage dans lequel Kamala Khan apparaîtra.

    Trêve de blabla chronologique, ce Disney+ Day a permis d’offrir de nouvelles images d’Iman Vellani dans la peau de Ms. Marvel. Peu de choses croustillantes dans ce trait court extrait, même si l’univers de l’héroïne semble plutôt fidèle à son homologue papier… à ceci près que les pouvoirs de la jeune Inhumaine fille semblent bien avoir été modifiés. Finis les pouvoirs polymorphiques, place aux pouvoirs dignes de Green Lantern. Plusieurs visuels fuités avaient laissé supposer ce changement, c’est désormais confirmé puisque nous pouvons apercevoir la jeune Kamala utiliser ses ‘matérialisations' pour marcher dans les airs… Libre à chacun de juger la pertinence de cette modification !msmarveld+day[La vidéo n’est actuellement pas diffusée sur YouTube mais est entièrement disponible sur Disney+ (Le Disney+ Day des Studios Marvel)]


    La série originale Marvel Studios se concentre sur Kamala Khan, une jeune Américano-Pakistanaise de 16 ans grandissant à Jersey City. Excellente élève, gameuse avide, écrivaine vorace de fan-fictions, Kamala a une affinité spéciale pour les super-héros et en particulier pour Captain Marvel. Néanmoins, Kamala doit lutter pour s'intégrer à la maison comme à l'école – et ce, jusqu'à ce qu'elle n'obtienne des super-pouvoirs comme les héros qu'elle admire tant. La vie est plus facile avec des super-pouvoirs, n'est-ce pas ?

    La série Ms. Marvel arrivera à l'été 2022 sur la plateforme Disney+ avec Iman Vellani dans le rôle de Kamala Khan/Ms. MarvelZenobia Shroff dans le rôle de Muneeba KhanSaagar Shaikh dans le rôle de Amir KhanMohan Kapoor dans le rôle de Yusuf KhanAramis Knight dans le rôle de Kareem/Red DaggerRish Shah dans le rôle de KamranMatt Lintz dans le rôle de Bruno CarrelliYasmeen Fletcher dans le rôle de Nakia BahadirLaith Nakli dans le rôle de Sheikh AbdullahTravina Springer dans le rôle de Tyesha HillmanAzhar Usman et Nimra Bucha.

    Sources :

    • Disney+

  • She-Hulk - Le premier aperçu du Disney+ Day !

    She hulk news

    Curieux de voir comment la physionomie de She-Hulk (Miss Hulk pour les adeptes de comics VF) va être adaptée à l’écran ? Le Disney+ Day nous offre un début de réponse en dévoilant un premier extrait de la série She-Hulk (qui s'offre au passage un nouveau logo) !logoshehulkÀ la suite du visuel de Moon Knight, nous avons pu découvrir les premiers pas de Tatiana Maslany dans la peau (verte) de Jennifer Walters, accompagnée de son cousin Bruce Banner, toujours interprété par Mark Ruffalo. De l’humour, des muscles, du vert, de la justice et même un faux air de WandaVision, difficile de savoir quelle sera la teneur exacte de la série ! Le mystère reste entier autour de la date de diffusion de la série… Mais la présentation du jour laisse supposer que la série arrivera avant Ms. Marvel, elle-même prévue pour l’été 2022. Réponse bientôt, espérons-le. shehulk[La vidéo n’est actuellement pas diffusée sur YouTube mais est entièrement disponible sur Disney+ (Le Disney+ Day des Studios Marvel)]


    La série She-Hulk se concentre sur la cousine de Bruce Banner, qui obtient des super-pouvoirs après avoir reçu une transfusion sanguine venant de lui.

    La série She-Hulk sortira en 2022 sur la plateforme Disney+ avec Tatiana Maslany dans le rôle de Jennifer Walters/Miss-Hulk, Mark Ruffalo dans le rôle de Bruce Banner/HulkTim Roth dans le rôle de Emil Blonsky / AbominationJameela Jamil dans le rôle de Mary MacPherran/Titania, Ginger GonzagaRenée Elise Goldsberry et Josh Segarra.

    Sources :

  • Moon Knight - Le premier aperçu du Disney+ Day !

    Moon knight news

    Au terme d’une longue vidéo revenant sur les premières séries Marvel/Disney+, Moon Knight se dévoile enfin au travers de quelques courtes images à l’occasion du Disney+ Day ! 

    Oscar Isaac interprète un Marc Spector / Moon Knight aussi déboussolé (rappelons que le personnage est connu pour sa schizophrénie) que violent. Les coups portent réellement, à l’image d’un Daredevil en son temps ; la réalisation fait déjà ses preuves (les jeux de reflets et d’ombre qui illustrent la mentalité de Spector) ; le costume esquissé semble fidèle au matériau d’origine (pour le peu aperçu. Bref : c’est court, c’est rapide mais cela promet ! La série arrivera sur Disney+ en 2022… serait-ce la prochaine série Marvel (après Hawkeye) ? Pour rappel, Ms. Marvel avait été annoncée comme arrivant juste avant (puis juste après) Hawkeye, puis a récemment été annoncée à l’été 2022. Moon Knight viendra-t-il combler les trous d’ici l’été, d’autant que la série a été la plus mise en avant lors de ce Disney+ Day ? Réponse bientôt, espérons-le. moonknight[La vidéo n’est actuellement pas diffusée sur YouTube mais est entièrement disponible sur Disney+ (Le Disney+ Day des Studios Marvel)]


    La série originale Moon Knight des studios Marvel se centre sur Marc Spector, un justicier complexe qui souffre de troubles dissociatifs de l'identité. Ses multiples identités qui vivent au fond de lui forment des personnages distincts qui apparaissent derrière une iconographie Égyptienne.

    La série Moon Knight arrivera en 2022 sur la plateforme Disney+ avec Oscar Isaac dans le rôle de Marc Spector/Moon Knight, May Calamawy, Ethan Hawke et Gaspard Ulliel.

    Source :

    • Disney+

  • Disney+ - Toutes les nouveautés du Disney+ Day !

    L'heure du grand récapitulatif pour toutes les annonces folles effectuées par Marvel Studios pour le Disney+ Day !

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  • Les Gardiens de la Galaxie Vol.3 - Le tournage du film a démarré !

    Gotgv3 news

    Pas besoin de lui tendre un micro, James Gunn utilise toujours ses réseaux sociaux comme personne pour gérer sa propre communication. Ainsi, le réalisateur nous apprend que le tournage du film Les Gardiens de la Galaxie Vol.3 vient de démarrer ! La photographie de l'équipe des acteurs principaux révèle un nouveau venu parmi la famille des Gardiens : Chukwudi Iwuji, acteur britannique, rejoint ainsi le casting dans un rôle inconnu (signant sa deuxième collaboration avec Gunn puisqu'il sera à l'affiche de la prochaine série Peacemaker). Notons enfin que le tournage comprendra celui du Holiday Special (prévu pour les fêtes 2022) et que le film est quant à lui attendu le 5 mai 2023 sur grand écran (après une longue épopée de reports puisqu'il était initialement prévu au début de la Phase 4) !


    Le film Les Gardiens de la Galaxie Vol.3 sera réalisé par James Gunn et sortira au cinéma le 5 mai 2023 avec Chris Pratt dans le rôle de Peter Quill/Star-Lord, Zoe Saldana dans le rôle de Gamora, Dave Bautista dans le rôle de Drax le Destructeur, Bradley Cooper dans le rôle de Rocket Raccoon, Vin Diesel dans le rôle de GrootKaren Gillian dans le rôle de Nebula, Pom Klementieff dans le rôle de Mantis et Sean Gunn dans le rôle de Kraglin Obfonteri.

    Sources :

  • Spider-Man : No Way Home - La première affiche enfin dévoilée !

    Spider mannowayhome tnews

    La page Les Éternels à peine tournée, Spider-Man : No Way Home reprend commence enfin sa promotion grâce à une première affiche officielle diffusée cette nuit ! Le film, attendu le 15 décembre prochain au cinéma, se révèle en effet pour le moment très avare en contenu promotionnel (très probablement parce que les équipes souhaitent préserver de nombreuses surprises et que le film n'a pas besoin de promotion officielle pour faire parler de lui sur les réseaux sociaux...).

    Cette affiche présente un peu plus les antagonistes du troisième opus des aventures de Spider-Man : le héros est en son centre, portant étrangement son armure Iron Spider (il s'agit par ailleurs d'une exacte copie du plan de la bande-annonce... passons sur l'effort !), faisant face aux tentacules mécaniques du Docteur Octopus d'Alfred Molina. Mais le fond n'est pas dénué d'intérêt puisque l'on retrouve le Bouffon Vert de Willem Dafoe sur son planeur, ainsi qu'un teasing discret de l'Homme-Sable de Thomas Hayden Church et du Electro de Jamie Foxx. Si le poster ne surprend pas vraiment sur son contenu lorsque l’on a déjà vu la bande-annonce, notons qu’il s’agit seulement du deuxième aperçu officiel et concret d’un méchant (le Bouffon Vert) puisque seul le Docteur Octopus était jusque là distinguable dans les différents visuels diffusés. Nous le savions déjà tous et la bombe lancée dans la bande-annonce venait le confirmer... mais à l'heure où les rumeurs se font et se défont autour du film, une petite confirmation visuelle n'est pas sans importance ! Dans le même thème, toujours pas l’ombre d’un Andrew Garfield ou d’un Tobey Maguire : à deux mois de la sortie, Sony tient bon son secret de polichinelles (ou pas ?).

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    Pour la première fois dans l'histoire cinématographique de Spider-Man, notre sympathique héros est démasqué et ne peut plus séparer sa vie normale des gros enjeux d'être un super-héros. Quand il demande l'aide de Docteur Strange, les enjeux sont d'autant plus dangereux, l'obligeant à comprendre ce que cela signifie vraiment d'être Spider-Man.

    Le film Spider-Man : No Way Home sera réalisé par Jon Watts et sortira le 15 décembre 2021 avec Tom Holland dans le rôle de Peter Parker/Spider-ManZendaya dans le rôle de Michelle JonesJacob Batalon dans le rôle de Ned LeedsMarisa Tomei dans le rôle de May ParkerBenedict Cumberbatch dans le rôle de Stephen Strange/Dr. StrangeJon Favreau dans le rôle de Happy HoganJamie Foxx dans le rôle de Max Dillon/Electro et Alfred Molina dans le rôle de Otto Octavius/Dr. Octopus.

    Sources :

    • Sony Pictures